Monsieur le directeur, compte tenu de l'ampleur de la politique de quantitative easing annoncée par la BCE, pourrait-on imaginer - question provocatrice - que cette dernière puisse être elle-même attaquée par les marchés ?
Par ailleurs, on sait que les conditions de sollicitation du MES seront assouplies à l'entrée. Qu'en sera-t-il de la sortie ? Ne craignez-vous pas certaines turbulences pour certains Etats, y compris le nôtre ?