Une autre option aurait été de modifier le droit en vigueur et de considérer que le caractère secret du vote n'était pas nécessaire, mais ce n'est pas le choix que vous avez fait.
Pour ma part, je sais que je trouverai toujours un prestataire de services pour me garantir la sécurité de mes réseaux électroniques et que je trouverai toujours quelqu'un qui me racontera comment il a été piraté. Je fais la différence entre des votes où 200 000 personnes sont amenées s'exprimer dans le cadre des élections professionnelles et le conseil municipal de Saint-Martin, la plus petite commune de ma circonscription, qui compte 14 électeurs, auxquels je ne suis pas sûr de pouvoir garantir le secret.