Monsieur le président Retailleau, vous avez cité les propos que j’avais tenus lors de l’examen du PLFR 1. Permettez-moi de compléter la citation : j’avais indiqué que, si le Gouvernement était ouvert à une discussion sur ce sujet, celle-ci devait s’inscrire dans le cadre de mesures de relance et non d’urgence. Or nous considérons que ce PLFR 2 relève de l’urgence.
Par ailleurs, j’entends ce que vous dites sur le montant insuffisant de la prime pour le secteur privé. Nous avons cependant doublé son plafond, le faisant passer de 1 000 à 2 000 euros.