Monsieur Dallier, peut-être n’ai-je pas été assez clair lors de la réunion de la commission. Je vous avais répondu en deux points. Premièrement, il nous paraît trop tôt à ce stade pour acter un report de la réforme de l’APL au-delà de 2020. Deuxièmement, pour confirmer votre analyse sur les conséquences pour le FNAL d’un report de cette réforme au-delà de 2020, j’avais dit, loin de nier cet impact, qu’il faudrait en tirer les conséquences.