Nous demandons la prise en charge des frais d’obsèques, non pas sans condition de ressources – M. le rapporteur général a eu raison de signaler que la première version de notre amendement était mal rédigée –, mais pour les familles sans ressources.
De nombreuses mairies, de toutes sensibilités politiques, interviennent déjà dans ces situations particulières, mais ce n’est pas le cas de toutes.
Par ailleurs, je me félicite d’avoir pu, avec des collègues parlementaires de toutes tendances politiques, faire reculer l’entreprise qui entreposait des corps dans un hangar habituellement destiné à l’alimentation, selon une approche par trop vénale ! Je tenais à le dire, car cela participe de la réhabilitation du politique.