J’insiste sur les engagements pris par le ministre de l’Europe et des affaires étrangères. Plus que du vote de crédits dans un projet de loi de finances rectificative, c’est de la mise en place du plan de soutien annoncé que les familles et l’AEFE ont besoin.
Nous savons que ce plan de soutien peut être mis en œuvre sans qu’il soit nécessaire de voter des crédits aujourd’hui. En effet, la trésorerie de l’AEFE s’élevait à 185 millions d’euros au 31 décembre 2019, une somme qui lui permet de faire face.