Avis défavorable, comme sur la quasi-totalité des amendements de crédits.
M. le rapporteur général l’a dit : les différents ministères concernés ont mobilisé des outils importants, en matière d’hébergement d’urgence notamment, mais pas seulement. Un lien est fait avec les associations du secteur, évoquées dans l’objet de l’amendement. Cela suffira-t-il ? Je ne le sais, mais si tel n’est pas le cas, nous saurons compléter le dispositif, plutôt que de créer des fonds d’urgence au travers de cette loi de finances rectificative.
Cet avis défavorable ne signifie pas que nous sommes opposés à accompagner ce secteur ; nous avons commencé à le faire et nous continuerons, mais la méthode proposée au travers de ces amendements d’alerte ne nous semble pas la plus pertinente.