Nous nous en rendons tous compte sur nos territoires : sans Emmaüs, sans le Secours populaire, que se passerait-il ?
On nous dit qu’on ne sait pas évaluer les montants nécessaires. Pour l’instant, sur 110 milliards d’euros, nous avons alloué à peine 900 millions d’euros aux plus démunis. Ne serait-ce que symboliquement, pour leur montrer que nous ne les oublions pas, il me semble indispensable de flécher un certain montant vers ces associations.