Ce serait à mon sens une bien meilleure réponse et cela apporterait beaucoup plus d’oxygène que la création de fonds à la gestion incertaine.
Si l’on affecte une certaine somme au secteur de la librairie, comment celle-ci sera-t-elle répartie sur des milliers de libraires en France ? La gestion administrative sera telle qu’elles auront le temps de mourir d’ici là.
L’efficacité consiste à avoir le dispositif le plus simple et le plus général possible, sans condition sectorielle. Qui gérera ce fonds ? Comment sera-t-il réparti ? On risque de ne pas en voir la queue d’une cerise avant des siècles. Parallèlement, il faut rouvrir les activités qui peuvent être ouvertes.