Je dois vous avouer notre frustration. Chaque fois que nous prenons la parole et que nous vous parlons des entreprises françaises à l’étranger, des alliances françaises et de l’activité liée aux exportations, on nous répond que l’on y travaille.
Aujourd’hui, toutes les dispositions sur la présence économique française à l’étranger ne sont pas traitées, alors qu’il y a urgence ! Il ne faudra pas se réveiller dans deux ou trois mois, quand on n’aura plus de chambres de commerce. Or il n’y a rien à ce sujet dans les dispositions que nous avons votées aujourd’hui.