J’ai certes mes défauts – vous me connaissez, madame la secrétaire d’État –, mais en l’occurrence, quand on m’a répondu, je le reconnais volontiers. Et je garderai bonne mémoire de votre réponse : nous verrons jusqu’où vous irez pour Famar.
S’agissant de Luxfer, vous avez raison, l’entreprise est en arrêt d’activité. Le dossier n’est donc pas simple. J’espère que, en lien avec le département du Puy-de-Dôme, vous pourrez continuer à restaurer un climat de confiance, afin de trouver un repreneur. L’entreprise ne compte peut-être que 136 salariés, mais ce n’est pas rien.
Au bénéfice des engagements que vous avez pris devant notre assemblée, madame la secrétaire d’État, je retire donc mon amendement.