… en Vendée comme dans l’Aube.
Pour toutes ces raisons, je me vois dans l’impossibilité de voter favorablement, monsieur le Premier ministre, et je le regrette : il y a trop loin de la parole aux actes.
J’espère que le Sénat pourra amender votre texte pour assurer une meilleure sécurité juridique aux maires et leur faciliter la tâche ; j’espère que le débat sur le suivi des maladies pourra se faire sereinement, dans la confiance ; j’espère que les cartographies départementales seront établies sur la base de vrais chiffres, car, au-delà de la santé, il pourrait y avoir des conséquences économiques importantes ; j’espère surtout que nos scientifiques nous aideront rapidement à sortir de cette crise majeure.