M.?Guillaume Chevrollier.?- Comment le Gouvernement français perçoit-il vos propositions ? Notre État est déjà largement endetté, et nos concitoyens redoutent un appauvrissement général : que peut leur inspirer l'essor de l'investissement public, que vous préconisez ?
En vue de l'après-crise, n'est-il pas nécessaire d'aborder la question du temps de travail dans la société française et d'étudier les moyens de mieux gérer l'argent public ?
De plus, l'écart se creuse entre la France et l'Allemagne : dans ce contexte, quel peut être l'avenir du couple franco-allemand et, plus largement, de l'Union européenne ?
Enfin, pouvez-vous développer votre analyse quant à l'avenir du continent africain ?