Vous avez évoqué la situation particulièrement difficile du Liban. Permettez-moi d'y associer la Syrie, où le seul établissement prestigieux encore ouvert est le lycée Charles-de-Gaulle. Les parents sont très inquiets d'une possible augmentation des frais de scolarité de 115 % compte tenu de l'effondrement de la monnaie locale. Est-il envisageable de répondre à ces inquiétudes de manière spécifique ?