J’entends votre réponse et je la respecte, monsieur le secrétaire d’État, mais je ne la partage pas totalement.
Permettez-moi de vous donner un exemple. Quand mon père est décédé, alors que ma mère avait l’usufruit, on nous a demandé si nous souhaitions récupérer la voiture. Vous voyez bien que certaines choses ne vont pas.