Je vous remercie de votre réponse, madame la ministre. Je sais bien que ce n’est pas facile, et si vous avez répondu de façon assez satisfaisante à ma question, le problème reste entier.
Je peine à imaginer comment les règles sanitaires pourront être appliquées dans les halls d’exposition, où 900 ou 1 000 étudiants et organisateurs seront rassemblés pour les épreuves. Je pense également au stress de ces étudiants qui jouent leur vie en si peu de temps, qu’ils soient en première ou en deuxième année, c’est-à-dire redoublants. Le concours de Paces est très difficile, mais c’est vrai de tous les concours que vous avez évoqués, avec ou sans oraux.
Permettez-moi d’ajouter, concernant les oraux, que leur maintien me semble nécessaire pour le recrutement des futurs professeurs de langues : si les candidats peuvent être très bons à l’écrit, je considère que l’accent est important.