Je me permets d’insister sur le fait que la question de la prime ne doit pas cacher celle d’une revalorisation plus générale de ces professions. En Seine-Maritime, 30 000 personnes ayant besoin d’aide à domicile profitent de ces services. Ces salariés sont vraiment un maillon essentiel de la chaîne de solidarité.
C’est pourquoi il faut ne pas renvoyer la responsabilité sur les seules collectivités ; il faut les accompagner pour qu’elles puissent mettre en place une véritable politique de soutien à ces professions.