Vous indiquez que 53 % de l'enveloppe annuelle en 2018 est destinée à la prévention de la récidive, tandis qu'en 2019, 6 actions visaient à l'empêcher. Je souhaitais savoir si la MILDECA intervenait aussi pour la prévention primaire et pour les plus jeunes ? Existe-t-il, en Guyane, un Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance? Les élus sont-ils impliqués dans cette politique de prévention ? Y a-t-il un contrat local de santé ou une structure particulière visant à impliquer les élus et les associations d'éducation populaire pour éviter que les très jeunes tombent dans ces trafics ? Par ailleurs, constatez-vous en même temps d'autres types de délits associés à cette délinquance ?