Madame la secrétaire d’État, votre réponse, générale au départ, se fait plus précise à la fin. Le système Dopna est très simple : quatre capteurs – deux à l’entrée, deux en sortie –, une télétransmission soit vers le chauffeur, soit vers un mécanisme d’arrêt automatique. Il n’y a donc pas de problème.
Il faut avoir un minimum de correction à l’égard des élèves ingénieurs de l’École centrale, qui ont déposé un brevet franco-français que la SNCF s’est permis d’exploiter en faisant des essais complémentaires. Depuis lors : silence !
La moindre des choses, c’est de répondre et de dire pourquoi. Là, vous m’apportez une demi-réponse et j’aimerais bien qu’on creuse un peu plus ce dossier, car c’est un peu plus compliqué que vous ne le dites. Vous parlez de procédés étrangers, ce que j’ai du mal à accepter.