Le renseignement pénitentiaire a été renforcé. Je ne suis pas certaine que son intégration dans la communauté du renseignement était une bonne idée, car les surveillants et les agents du renseignement ne font pas le même métier. La situation se complique quand le délégué local au renseignement pénitentiaire - en général, un cadre de l'établissement - a des informations dont même le directeur de l'établissement ne dispose pas, d'autant qu'il est soumis hiérarchiquement à ce dernier, sauf pour sa mission de renseignement.
Par ailleurs, sur la rétention de sûreté, nous devons tous les deux avoir raison : le pointage se fait soit une fois soit trois fois par semaine.