Je suis d'accord avec votre analyse. De nombreux jeunes ont été dans la situation que vous avez décrite : trois ou quatre frères et soeurs doivent se partager un téléphone portable qui capte mal. Nous n'avons pas suffisamment mis l'accent, pendant la crise, sur la situation de ces jeunes confrontés à une fracture numérique dont ils étaient les premières victimes. Les professeurs étant dans la même situation, il a fallu trouver des solutions artisanales, comme le dépôt des copies à la boulangerie du village.