Nous devons, je le répète, faire face à une crise qui s’annonce exceptionnelle. Faut-il pour autant renoncer à un certain nombre de réformes entreprises ? Certes, elles peuvent se discuter et devront sûrement être réorientées au regard du nouveau contexte. Mais rien ne serait pire, me semble-t-il, que de faire face à la crise qui s’annonce en revenant à une forme d’immobilisme.