M. Jean Castex, Premier ministre. J’entends bien que nous tirions les conséquences du passé. La crise entraîne effectivement une dégradation des comptes sociaux – M. Marseille y a fait référence – et des comptes publics en général. Il ne faut pas qu’elle soit suivie dans deux ans ou trois ans d’un matraquage fiscal, pratique à laquelle d’autres majorités ont largement eu recours par le passé.