Ce qui va sans dire va mieux en le disant. Dès lors que l’on considère que certaines personnes n’ont pas besoin d’un dispositif, autant l’écrire dans la loi ; c’est d’ailleurs en général ce qu’on fait. Par ailleurs, je partage les propos de Claude Raynal : on sait très bien que ces vérifications sont automatisées et numérisées. Il n’y a pas besoin d’agents des services fiscaux pour y procéder ; les coordonnées du contribuable suffisent pour déterminer s’il est soumis à l’IFI. On peut donc adopter cet amendement : tout l’objet est de préciser ce qui relève de l’évidence, mais en matière fiscale en tout cas, il vaut mieux écrire l’évidence.