Les autorités sanitaires avaient, un moment, permis d'entrouvrir la housse enveloppant le défunt, pour que la famille puisse en apercevoir le visage une dernière fois. Certains hôpitaux l'ont tout à fait interdit. Des entreprises de pompes funèbres ont alors protesté, en soulignant que c'était possible ailleurs, d'où des difficultés évoquées sur la façon dont les proches des défunts ont ressenti la situation.
Il faut ajouter que, dans un tout premier temps, le niveau infectieux du cadavre n'étant pas parfaitement déterminé, les autorités sanitaires ont tenu à ce que le cercueil soit hermétiquement fermé, ce qui interdit absolument la crémation, pour des raisons compréhensibles. Dans ce cas précis, le recours à la crémation s'est révélé impossible.