Ce moratoire national est un prélude à une harmonisation européenne. Nous nous sommes rendu compte que les grandes entreprises avaient un certain pouvoir en matière de labellisation, sujet déjà compliqué de par la multitude de labels existants. Nous préconisons que les fédérations professionnelles réfléchissent à un modèle de labellisation par métier. Pour répondre à Joël Labbé, nous avons rappelé dans notre rapport le besoin accru des millenials en matière d'écologie au travail et nous nous sommes appuyés sur Le Manifeste étudiant pour un réveil écologique que vous citiez, signé en 2018 par 32 000 étudiants de 420 établissements d'enseignement supérieur.