Il est vrai, monsieur le rapporteur général, qu’il est aujourd’hui difficile de se déplacer. Pour autant, il ne s’agit pas de dire que la France n’accueillera pas d’étudiants l’année prochaine ! Un certain nombre d’étudiants souhaitent faire des études en France. À nous de faire en sorte que la manière dont nous leur attribuons un visa soit conforme à la situation sanitaire actuelle.
Nos partenaires ou concurrents européens, qui souhaitent également attirer des étudiants étrangers, ouvrent des bureaux dans leurs ambassades et consulats pour délivrer des visas étudiants quand nos centres sont fermés et que nous ne prévoyons rien pour l’année prochaine. C’est dommage !