Vous avez évoqué l'outre-mer. S'il y a un endroit où l'intervention de la gendarmerie est particulièrement attendue et utile, c'est bien en outre-mer. À Mayotte, les forces de gendarmerie sont très sollicitées face aux accès de violences dans les villages. La population demande des moyens supplémentaires : ne faudrait-il pas créer un peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) ?
Les gendarmes originaires de Mayotte qui ont été mutés dans l'Hexagone et qui reviennent sur l'île ne peuvent pas bénéficier, semble-t-il, dans la pratique, de la prime d'éloignement, prévue pourtant par les textes. Des textes de 1951 seraient appliqués, alors que la départementalisation date de 2011. Qu'en est-il ?