M. Pierre Ouzoulias. Par ailleurs, le calendrier a été imposé à notre Haute Assemblée par le Gouvernement. Il y avait un autre calendrier possible ! Je vous rappelle que le Président de la République a souhaité que son Premier ministre s’exprimât après son intervention télévisuelle du 14 juillet. On pouvait parfaitement concevoir – c’était dans la logique des institutions – une déclaration de politique générale juste après sa nomination. Encore une fois, on a obéi au fait du prince. En tous les cas, on pouvait avoir un autre calendrier d’examen de ce texte : je ferme la parenthèse.