Je partage l’avis de la commission et j’ajoute que les équipes du ministère du travail, mais aussi les services chargés des finances publiques sont mobilisés pour lutter contre la fraude au chômage partiel. Des cas ont déjà été repérés ; nous travaillons sur ces dossiers.
D’ailleurs, les services des finances publiques s’impliquent également pour déceler des mouvements bancaires ou des concentrations de fonds sur des comptes, pouvant laisser penser que plusieurs aides – au titre du chômage partiel ou du fonds de solidarité – ont été perçues.