Il faut distinguer les secteurs, comme le bâtiment, où il y a une reprise, certes dans des conditions difficiles, d’autres comme le tourisme, l’hôtellerie ou l’événementiel. Allez autour du Sénat : les hôtels sont fermés, parce qu’il n’y a aucun voyageur, aucun touriste ni aucune personne allant dans un salon.
La différence de traitement est justifiée entre les secteurs totalement à l’arrêt et ceux qui peuvent reprendre. Dans le bâtiment, certes, la reprise a lieu dans des conditions dégradées, mais on peut espérer qu’elle sera forte. Je demande donc le retrait des amendements.