Il me semble que l’amendement n° 226 rectifié bis vise d’abord à demander des précisions au Gouvernement concernant les agences immobilières.
Considérées comme des lieux accueillant du public non indispensables à la vie de la Nation, elles n’ont pourtant pas fait l’objet d’une fermeture administrative en vertu de l’arrêté du 14 mars. Or un certain nombre de fédérations professionnelles et parfois, semble-t-il, les forces de l’ordre les ont incitées, voire contraintes à la fermeture. Les auteurs demandent donc des précisions quant à l’application de la doctrine de fermeture.
La commission sollicite l’avis du Gouvernement.