On peut toujours avoir plus, mais soyons concrets. Prenons les dossiers l’un après l’autre.
Au-delà des transports, d’autres sujets doivent être examinés – je sais que les élus locaux, notamment, sont très mobilisés et proposent des solutions. Plus on travaille ces dossiers, plus on peut, ensuite, les soutenir et les faire évoluer au travers de financements communs. Le Grand-Duché me semble de plus en plus ouvert à des financements de projets coconstruits.
Cela dit, ce travail transfrontalier s’exprime à travers une solidarité entre nos deux pays. Le Grand-Duché a ainsi fait preuve d’une grande solidarité au moment de la crise du covid-19, cela a été rappelé, en acceptant de soigner onze de nos patients atteints par cette maladie.
Tout n’est pas réglé, donc, mais il y a une volonté d’avancer et des résultats d’ores et déjà concrets.
Jean-Pierre Decool parlait d’harmonisation fiscale. Il me semble qu’il faut effectivement travailler dans ce sens.
J’ajouterai quelques précisions très techniques.
Tout d’abord, cet avenant ne représente pas une perte pour le Trésor, puisqu’il revient à la situation prévalant depuis 1958. En fait, rien ne change en matière budgétaire par rapport à la précédente convention.