Intervention de Guillaume Chevrollier

Commission de l'aménagement du territoire et du développement durable — Réunion du 25 février 2020 à 18h34
Audition de Mme Inger Andersen sous-secrétaire générale des nations unies et directrice exécutive du programme des nations unies pour l'environnement

Photo de Guillaume ChevrollierGuillaume Chevrollier :

Je m'associe pleinement à la question sur l'empreinte environnementale du numérique posée par mon collègue. Vous l'avez dit, l'année 2020 sera celle de l'adaptation au changement climatique, et ce sera aussi l'année de l'engagement pour la nature. Vous avez évoqué le Green Deal de la Commission européenne qui reflète l'engagement de l'Union européenne, et l'importance des actions à mener dans le secteur agricole. Avez-vous prévu de vous rendre au Salon international de l'agriculture, qui se tient cette semaine ? Il y est beaucoup question de l'adaptation de notre agriculture et de la nécessité de ne pas opposer environnement et agriculture : au contraire, l'agriculture doit être la solution qui permette l'adaptation au changement climatique. Sur ce point, il faut passer des paroles aux actes et investir. Votre rapport évoque les écarts entre les besoins, les perspectives et la réalité. Dans le domaine agricole, il y a urgence à accompagner, et il faut une mobilisation mondiale sur le sujet dans les pays du G20 comme dans les autres. Enfin, dans les échanges et réflexions de l'ONU sur les politiques environnementales, la question de la maîtrise de la démographie est-elle abordée ?

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