Il faut réagir, et c’est ce à quoi nous vous invitons aujourd’hui, mes chers collègues.
Nous avons de quoi être préoccupés quand nous voyons le chef de l’État attendre la quatrième année de sa présidence pour inscrire à l’ordre du jour un texte contre le séparatisme islamiste. Il faut entendre les préoccupations évoquées il y a quelques minutes par le garde des sceaux, que la règle commune semble gêner…