Je m’associe à l’hommage rendu par M. Bargeton à la rapporteure et au président de la commission. Je les remercie et les félicite de leur travail, qui a permis d’améliorer ce texte.
En ce qui me concerne, je souhaite également rendre hommage à Mme la ministre, qui nous a écoutés et avec qui nous avons eu un échange apaisé ; ce n’est pas toujours le cas en cette Haute Assemblée, et je tiens à l’en saluer.
Nous avons eu des débats sur l’horizon, initialement fixé à 2030, de cette loi de programmation. Alors que les jeunes de ce pays sont confrontés à une situation de crise politique et sanitaire, et parfois à la désespérance, par ce texte nous leur envoyons un message les assurant que nous croyons à la jeunesse de ce pays, à la recherche et à la souveraineté française en matière de recherche.
Nous avons eu sur ce sujet des points de convergence, mais aussi de divergence, en particulier sur la place du privé.
La majorité sénatoriale a salué l’effort de revalorisation et d’attractivité de la recherche qui a été engagé : au fond, elle a salué l’engagement, après des années de désengagement.
Nous avons eu de beaux débats sur les libertés académiques – ceux qui veulent affoler en seront largement pour leurs frais –, …