Je tiens tout d’abord à me joindre aux commentaires de mes collègues Julien Bargeton et Max Brisson concernant Laure Darcos et Laurent Lafon, qui ont fait preuve de beaucoup de dynamisme tout au long de l’examen de ce projet de loi.
Cher Julien Bargeton, je ne dirais pas que Laurent Lafon est resté impassible, car cela signifierait qu’il ne fait pas preuve d’émotions. Or, par son amendement visant à punir d’un an d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende les personnes qui pourraient entraver la tenue d’un débat à l’université, il me semble qu’il a davantage fait preuve de courage que d’« impassibilité ».