J’ai pu le vérifier en parcourant, ces dernières semaines, les routes de mon département et en échangeant avec celles et ceux qui font notre alimentation.
Dans le Cambraisis, le Solesmois, le Dunkerquois ou la Pévèle Carembault, j’ai rencontré des agriculteurs betteraviers confrontés à une situation tout à fait exceptionnelle, même si je sais que le département du Nord n’est pas celui qui paye le plus lourd tribut au virus de la jaunisse.
Alors, de quoi parlons-nous aujourd’hui ?
Nous parlons d’un texte qui n’a d’autre ambition – mais n’est-ce pas là la plus belle d’entre toutes, celle qui doit animer nos actes ? – que d’aller vers l’idéal et de comprendre le réel.