Monsieur le sénateur Houllegatte, je pense qu’il ne faut pas perdre de vue la finalité de ce débat : faire sortir de l’ornière une filière qui, en l’espace de deux ans, peut s’effondrer. Je crois que nous partageons tous ici cet objectif.
Malheureusement, ce n’est pas en disant que nous comprenons le problème et que nous appelons à une alternative que nous sortirons cette filière de l’ornière, précisément parce que l’alternative n’existe pas. Je voudrais vraiment que chacune et chacun d’entre vous en soient persuadés. Si une alternative existait, je ne serais pas devant vous ce soir pour vous présenter ce texte