Nous proposons d’augmenter le taux de la taxe sur les transactions financières de 0, 3 % à 0 5 % et d’élargir son assiette aux transactions infrajournalières, dites intraday.
Nous avons déjà largement débattu de ces questions : la finance ne doit plus être déconnectée des besoins de financement de l’économie réelle. Songez que, entre 1975 et 2015, alors que le PIB mondial était multiplié par quinze, la capitalisation boursière l’a été par cinquante et le volume des transactions boursières par trois cents !