Hélas - on le constate souvent -, si la France n'est pas présente dans le bassin méditerranéen, en réalité, il n'y a personne. Dans notre rapport, nous nous interrogeons sur l'utilisation du Charles-de-Gaulle au-delà de 2038, notamment pour garder, sous une certaine forme, une force permanente en Méditerranée. Cette solution est-elle envisageable ?