Monsieur le directeur, vous êtes un haut fonctionnaire à la tête d'un des plus importants budgets de l'administration française, en route peut-être vers 18 milliards d'euros, ce qui est une bonne chose et que nous soutenons. Vous êtes placé sous l'autorité du ministre des affaires étrangères. Comment faites-vous pour qu'à chaque renouvellement ministériel, il n'y ait pas de ministre délégué à la coopération ou de Secrétaire d'État à la coopération, qui pourrait porter devant le Parlement ou d'autres institutions le message que vous défendez avec talent ?