On le voit bien que, sur nombre de sujets, nous sommes dorénavant en retrait. C’est bien dommage.
Vous nous dites maintenant que c’est désormais une affaire de trois semaines. Mais alors, monsieur le secrétaire d’État, que faisons-nous ce soir ? Nous étions prêts à attendre trois semaines de plus et à voter les bons amendements si nous avions été assurés que, le 9 décembre, l’Union européenne aurait tranché. Mais non, il faut aller vite, pour servir une personne, plutôt que la France !