Dans les documents annexés au projet de loi de finances, il est fait un lien entre la politique d'hébergement des demandeurs d'asile et la lutte contre l'immigration irrégulière. Sur ce point, 1 500 places sont annoncées pour 2021 au sein du dispositif de préparation au retour (DPAR), afin de favoriser les retours volontaires. Dans le même temps, le nombre de places dans les CRA continue à augmenter afin de renforcer l'effectivité des retours forcés.
Comment les territoires d'outre-mer, notamment Mayotte dont chacun connaît la problématique migratoire spécifique, s'insèrent-ils dans la stratégie de la mission pour l'année 2021, composée pour deux tiers de crédits alloués à la garantie de l'exercice du droit d'asile ?
Comment les nouvelles places de DPAR et de CRA se déclineront-elles dans les territoires ultramarins ?