Solennellement, monsieur le rapporteur général, je ne peux pas vous suivre.
D’abord, c’est la dernière fois que j’interviens sur ce sujet, car je ne serai plus parmi vous l’an prochain. Cet argument-là, qui est un argument important, tombe.
Ensuite, si je comprends qu’il faille s’acquitter de taxes et financer les chancelleries, le problème tient au fait que certains les paient et d’autres non. Voilà ce qui est anormal !
Je propose donc simplement de mettre un peu de justice dans le dispositif.