Monsieur le ministre, vous vous êtes livré à un comparatif avec la décision prise de baisser la TVA dans la restauration voilà quelques années.
L’idée était alors que le gain résultant de cette baisse soit partagé en trois tiers, entre la marge, les consommateurs et l’emploi.
Nous ne sommes pas dans le même contexte aujourd’hui. Avec la crise, l’activité s’est arrêtée et nous attendons qu’elle reprenne.
Il ne s’agirait donc pas uniquement de faire effort pour restaurer la marge, mais aussi d’encourager les consommateurs avides de retrouver les plaisirs de la restauration.