Pour votre information, mes chers collègues, en accord avec le M. le président de la commission, et si vous en êtes d’accord, je vous propose de suspendre nos débats à dix-neuf heures quarante-cinq, afin que tous ceux qui souhaitent suivre l’allocation du Président de la République puissent le faire.
Y a-t-il des observations ?…
Il en est ainsi décidé.
La parole est à M. le ministre délégué.