Ce que M. Féraud vient de dire est exact, on voit bien aujourd’hui que les besoins sont criants, notamment pour répondre à l’urgence sociale. Nous avons aussi fait des propositions sur des programmes d’investissements pour l’avenir en matière d’infrastructures et de transition écologique.
Comme je le disais, au petit jeu des additions, il faut tenir compte des propositions de recettes que les uns et les autres ont formulées. Aujourd’hui, nous vivons une situation qui peut paraître baroque et ubuesque, mais qui, en fait, ne fait que refléter l’immensité des besoins.