Le rapporteur a annoncé par anticipation qu’il était défavorable à mon amendement. Pourtant, celui-ci est dans la limite du raisonnable, contrairement à celui de mon collègue qui siège sur les travées de la gauche : il s’agit de prévoir 250 millions d’euros pour un plan de relance pour la Polynésie française, qui – disons-nous les choses – a été oubliée dans le plan de relance national.
Monsieur le ministre, où donc est inscrit le fameux 1, 5 milliard d’euros dont le rapporteur vient de parler ?