Le rebasage budgétaire engagé tant pour les dépenses de sécurisation que pour les dépenses d’immobilier n’est pas à la hauteur des besoins. Comptez sur notre commission, monsieur le ministre, pour vous soutenir dans les négociations qui devront être menées avec Bercy sur ce sujet !
Enfin, en définissant le champ d’application des travaux de sécurisation des emprises, nous ne devrions pas négliger la sûreté de nos emprises et de nos personnels en Europe et dans le monde occidental en général.